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Toponymie

Leodium, Legia, Liège et Lîdje

Article détaillé : Étymologie de Liège.

L'étymologie du nom de Liège[note 1] a suscité, depuis le Moyen Âge, une longue série d'hypothèses. La dernière révision toponymique permet de situer l'origine de Liège au temps du Bas-Empire romain en Germanie inférieure, en adéquation avec les vestiges romains de la place Saint-Lambert attestant une présence, probablement prospère, du Ier au IVe siècle.[réf. nécessaire]

Liége s'écrivait avec un accent aigu, ce avant l'arrêté du Régent du approuvant la délibération du Conseil communal de la ville de Liége du [3].

Périphrases

La périphrase la plus souvent utilisée pour désigner la ville de Liège est « Cité Ardente ». Cette appellation vient du titre d'un roman chevaleresque écrit par Henry Carton de Wiart édité en 1904. Ce roman raconte le sac de la ville de Liège par les troupes de Charles le Téméraire en 1468, malgré la résistance liégeoise, aidée par un important contingent, les Six cents Franchimontois, venu d'une seigneurie voisine. L'appellation de « Cité Ardente[note 2] » n'est pas antérieure à la parution de ce roman[4]. Elle a surtout été popularisée par le prince Albert qui, faisant référence au titre dudit roman dans son discours inaugural de l'Exposition universelle de Liège de 1905, lance vraiment l'expression auprès des journalistes liégeois. Cette expression est restée ancrée dans le langage populaire et la littérature[5].